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Isaiah Blumenberg
Isaiah Blumenberg
vieille âme
l'âme
Pseudo : Raton
Age : 37
Forme Animale / Don : Tu croyais au départ être abject. Quelle forme D-eu t'a-t-il donné? C'est avec difficulté que tu apprends à accepter cette petite bête en toi. Un rat est-il aussi immonde qu'on le pense?
Coeur : Croit avoir perdu son âme-soeur à tout jamais
Métier / Occupation : Sommelier et pianiste de cabaret
Habitation : Un appartement au-dessus d'un commerce, dans le North End
Intervention du Karma : Oui ou Non
TW : Aucun mais il est toujours préférable d'en discuter avant
Style RP : 300 mots et plus, soit à la première ou deuxième personne du singulier. #team-tortue-de-Galapagos-sous-valiums

Isaiah Blumenberg - The Reckoning Song Tumblr_nfedytAlsS1qizcd2o2_540
Messages : 333
la plume

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Ven 13 Oct 2023 - 1:53

Yeshaya Blumenberg

ft. Ben Whishaw

âge : 37 ans.
date et lieu de naissance :Yom Kippur, le jour du Pardon. Ton vrai prénom est Yeshaya. Pour les goys, c'est plus simple. Tu es Isaiah ou simplement Shaya, pour tes proches, né le 13 octobre 1986. Tu es né au Satmar, une communauté ultra-orthodoxe, repliée sur elle-même de Brooklyn, New-York.origines : Tu te croyais hassidim, comme les autres... Quel mensonge. Ta mère était allemande et russe. Ton vrai père? Probablement un anglais + (anglaise, allemande, russe et française)
occupation : Sommelier et pianiste de cabaret
orientation sexuelle et genre : il- lui / homosexuel
situation amoureuse : Marié. Cela fait au moins dix ans que tu n'as pas revu ta femme ou ton fils. En deuil... tu as perdu celui qui t'était destinégroupe : Shapeshifters crédits :Avatarsandcrap and Asmodée


caractère

Qualités
Intelligent - Cultivé - Empathique - à l'écoute - Compréhensif - Hypersensible - très discret - serviable

Défauts
Cynique - Désillusionné - Mélancolique - Jaloux - Amer - Lâche

métamorphose ou don

animal  : Rat de Norvège
Houspillé, piétiné et maudit lors de ta Bar-Mitzvah, tu as mis longtemps à accepter la vermine en toi. D'où vient-elle? C'est la question que tu te poses à tous les jours.

âme-soeur

Il s'appelait Naveen. Il t'es apparu un soir, au détour d'un verre. Ce ne devait être qu'une nuit. Juste une nuit. Oh! Tu l'as repoussé au début, ton petit renard. Et tu l'as repoussé même quand tu l'as suivi au Canada, là d'où il venait. Tu l'as suivi pour mieux le repousser encore. Et encore, en prétendant qu'il n'y avait que Toshiro, pour toi. Tu t'en veux. Tu aurais pu être heureux. Vraiment heureux. Tu le sais, aujourd'hui. Il est loin, maintenant. Si loin... Dans un refuge pour bêtes sauvages rescapées de fermes de fourrures, au Minnesota. Il est bien soigné, il est bien nourri et il est libre, avec les siens. C'est ce que tu tentes de te dire. L'animal qu'il est devenu se souvient-il seulement de toi, aujourd'hui? Même ses ricanements te manquent cruellement. Qu'est devenu la marque que vous partagiez? Tu ne veux pas savoir. Elle est derrière ta nuque et tu refuses de la regarder, dans le miroir.

vie antérieure

Non, tu ne croyais pas aux vies antérieures. Le judaisme ultra-orthodoxe dans lequel tu as été éduqué te l'interdisait. Mais il t'arrive encore d'avoir des rêves étranges de traversée en navire, de voir ton uniforme rouge, ton tricorne posé sur une chaise de bois, d'entendre d'énormes coups de canons, des coups de fusils, des cris en anglais, des pleurs en français et de te réveiller en sueur, certain que l'armée britannique attend de punir le déserteur que tu as été.


Dernière édition par Shaya Blumenberg le Sam 14 Oct 2023 - 7:06, édité 8 fois
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Forme Animale / Don : Tu croyais au départ être abject. Quelle forme D-eu t'a-t-il donné? C'est avec difficulté que tu apprends à accepter cette petite bête en toi. Un rat est-il aussi immonde qu'on le pense?
Coeur : Croit avoir perdu son âme-soeur à tout jamais
Métier / Occupation : Sommelier et pianiste de cabaret
Habitation : Un appartement au-dessus d'un commerce, dans le North End
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Ven 13 Oct 2023 - 1:54
TW: drogue, alcool, overdose, homophobie, perte d'un être aimé, abandon


Histoire

And think of all the stories that we could have told

Ici, tu peux décider de nous raconter ton personnage en anecdotes ou en texte. 10 anecdotes ou 300 mots minimum !

GENÈSE (בְּרֵאשִׁית‎) Tu as toujours eu le sentiment d’être maudit. Toujours. Il y a de ces choses dont il ne fallait jamais parler, dans la communauté, dans ta famille. Jamais. Des rares personnes qui étaient en dehors du pli, à cause de leur manque de foi. De ces envies de rejoindre le monde séculier qui vous encerclait et de le vivre à fond. Des choses contre-nature et de l’adultère. Du fait que ta mère était une orpheline allemande qu'on avait recueillie, par pitié. De l’adultère de ta mère avec un non-juif... Un des siens. Pourquoi ton père avait-il fermé les yeux? Tu n’en sais rien.  Elle aurait dû être répudiée et excommuniée. Toi avec elle. Mais ton père a fermé les yeux. Ton père a dit au rabbin que tu étais son fils. Et il t’a élevé tel quel, même si tu était l’enfant d'un maudit goy. Tu as vécu ton enfance comme tous les autres, baigné par la parole de D-eu, par la prière, la rigueur, et le Shabbat. Ta mère t’a appris à jouer sur le vieux piano de son père adoptif. Tu aimais tellement la regarder jouer, quand elle arrivait enfin à quitter son lit... Même si c’était interdit pour une femme, de danser, chanter ou jouer un instrument devant les hommes et ses propres garçons. C’est ton plus beau souvenir. C’était votre secret à vous deux. Juste à vous deux.

BAR MITZVAH (בר מצוה) Toutes ces années de préparation pour enfin vivre ce moment. Ta voix venait de muer, quelques jours plus tôt et défaillait tout le temps. Était-ce à cause du choc? Tous ces hommes, dans la synagogue, tous ces hommes présents juste pour toi. Pour t’accueillir à l’âge adulte. Tu avais peur, si peur de fausser… La tête te tournait, tu avais les mains moites, les os qui faisaient si mal. Et puis dès la première note, ta voix a flanché et une douleur fulgurante t’a plié en deux. Tu t’es réfugié dans une autre pièce, pour te calmer mais tout a empiré, tout. Tes os se sont tordus et brisés, tes genoux se sont renversés et une fourrure noire est apparue sur ta peau de garçon et tes cris sont devenus des couinements. Lorsque le rabbin de la synagogue a ouvert la porte de la salle de prières, il n’a trouvé que de la vermine. Un rat dans ce lieu si saint. Le rabbin a t-il compris ce que tu étais, lui? Tu ne sais pas. Poursuivi. Houspillé. Piétiné. Chassé jusqu’a la cave. Jusqu’à ce que tu reprennes forme. Lorsque ton père  t’a retrouvé, nu, le visage en sang et le corps couverts d’ecchymoses, une heure plus tard, on a prétendu à un acte antisémite. Tu n’as rien dit. On ne parle pas des choses contre-nature. Est-ce là que tu as compris que tu n’avais plus ta place parmi ta communauté? Est-ce là que tu as perdu la foi? Est-ce là que le monde séculier s’est mis à t’appeler? Même s’il fallait se re-tranformer dans cette chose ignoble, pour échapper au regard des autres... tu t'échappais. Dès que l’étude du Talmud te pesait, sur tes épaules, dans ton coeur.

MARIAGE ET FUITE (חתונה און פלי) C’était la fille d’un ami de ton père. Miriam Schwartz. Son nom, à défaut du reste, demeure imprimé sur papier et dans ta mémoire. Une jeune fille douce, obéissante et aussi effacée que toi. Ta femme. Tu as accepté le mariage comme un automate. Célébré tes vœux, les yeux fermés, comme un pantin. Tu t’es soumis à tous les rituels, tous les chants. Et puis est arrivé la nuit et le malaise. Elle ne savait pas quoi faire. Elle avait mal. Et tu n’étais pas confortable. Tu ne connaissais pas grand-chose non plus. Personne ne vous avait expliqué quoi que ce soit. Cette union pleine d'angoisses vous a donné d'abord une petite fille, morte en couches et trois ans plus tard, un garçon fragile.  Le Rabbin t’a visité deux mois à peine après la naissance d'Élie, pour te parler de tes devoirs. Tes devoirs conjugaux. Ceux que tu n’accomplissais pas. Pas complètement. Pas tous les vendredis. Pourquoi Miriam n'était pas de nouveau enceinte? Tes ancêtres avaient fui Israël. Ils avaient survécu aux purges et aux exils. Et toi, tu faiblissais entre les cuisses d'une femme? Étais-tu un homme ou préférais-tu tes instincts d'animal? Quelques temps plus tard, tu vendais les bijoux de ta femme et tu prenais la fuite vers l'Ouest. Un vol pour Los Angeles, choisi au hasard. Est-ce ton inexpérience qui t’as plongé dans le gouffre? Probablement. Tu ne savais rien de la vie. Pas vraiment grand chose des gens. Tu ne parlais pas français et tu n'avais aucune expérience. Tu es tombé entre les mauvaises mains. Et tu es tombé dans l’opium et la prostitution.

TOSHIRO Tu étais complètement défoncé, lorsque tu l’as vu, pour la première fois. Ses cheveux de jais et son regard plein de rage au travers de cette pièce opulente, trop riche et trop dépravée pour vous deux. Tu voyais flou, si flou. Des taches de couleurs.  Une silhouette si famillière et si étrangère à la fois. Était-ça, un coup de foudre ? Tu n’en savais rien. Mais à l’instant où tu l’as vu, tu t’es juré de ne plus jamais le quitter. Jamais.  Il connait mieux le monde. Il connait mieux la réalité, que toi. Combien de questions idiotes lui as-tu posé? Sur des choses pourtant élémentaires. Les tremblements de terre. Sur l'histoire. La musique. Où se situait le Japon. C'est lui qui t'apprend à survivre. Toshiro. Tu t'accroches à lui comme un naufragé s'accroche à la lumière vacillante du phare, dans l'obscurité. Comme un camé à sa drogue. Toshiro. Quatre ans d'échanges de fluides, de rêves éphémères. Deux épaves bercées par le Dragon. Quatre ans à l'entendre jouer de son violoncelle, à tous les soirs. À l’accompagner, avec ta voix timide et ce vieux piano désaccordé. Jouer, chanter. Danser comme quand tu dansais pour honorer D-eu jadis, au son de son instrument. Jusqu'à ce que les coups sur la porte tonnent, que les bouteilles éclatent et que les injures fusent autour de vous. Quatre ans de fusion. Quatre ans à croire dur comme fer qu’il n’y aurait que toi et lui, à jamais.  Et puis, un chef d'orchestre renommé le ramassait, sur Sunset Boulevard où il jouait. Et Toshiro est parti, sans même dire au revoir. Toshiro est parti en te laissant tout ce qui restait d'opioïdes. Tu l'as toute pris pour vous deux, en remettant ton âme à D-eu. Et tu as fait une overdose.

ÉLIE(יחיאל) C'est le propriétaire de bouge miteux qui te retrouve, les lèvres bleues, la peau grise, sur le point d’agoniser. Tu te souviens de l’air qui ne passait plus dans tes poumons. De l’air qui ne passait plus alors que tu voulais lui dire de tout arrêter. De te laisser mourir là. De te remettre à Lui. Lorsque tu te réveilles enfin, des jours et des jours plus tard, tu retrouves ton père, droit et digne, à ton chevet. Ton frère ainé l’attend dehors, incapable d’être dans la même pièce que toi. Tu veux parler, lui dire de te ramener avec lui, avec vous, mais il te fait taire d’un geste. Il ne comprends pas ce que tu es devenu. Tu le vois dans ses yeux plein de tristesse. Il ne comprend pas ce que tu es. Mais tu restera son fils, même si tu n’es pas de son sang. Il dépose deux choses sur la table, près de toi, avant de se lever, de t’embrasser sur le front et de quitter la chambre, sans se retourner. Une lettre. Avec des inscription à demi effacée. « Viens me rejoindre Rachel, viens me rejoindre. Henry. » Une adresse à Halifax.

Et une photo. Celle d’un garçonnet de 5 ans. Ton fils.

FATHER (טאטע) Il te faut des années pour te défaire partiellement du joug de l'héroïne. Tu finis par quitter Los Angeles, incapable d’y vivre sans Toshiro. Tu tentes de revoir Myriam, à New York mais on t’en empêche. Tu trouves une place convoitée, à Paris. Les corps se suivent, dans tes draps. Et la drogue continue d’affluer. Parfois, seulement parfois. Quelques fois par mois, c’est tout.  Tu fais des efforts. Pour être un jour, prêt à sortir ton fils de l’emprise de ta communauté. Pour être un jour prêt à répondre à ses questions. Ses question à lui, s’il se présente devant toi. Pourquoi tu as quitté. Pourquoi tu n’étais pas capable d’accepter la Torah telle qu’elle était. Ni l’obéissance. Pourquoi tu as trahi ta famille. Ta femme. Pourquoi tu l’as abandonnée, elle. Pourquoi tu l’as abandonné, lui. Pourquoi tu as renié D-eu. Tu ne sauras pas lui expliquer. Tu ne sauras pas lui expliquer pourquoi les os craquent, la douleur paralysent, la mâchoire saigne alors que les incisives poussent et le pelage sombre et les griffes apparaissent. Cette putain d'envie de ronger tout. Tout. Pourquoi D-eu t’a donné une forme aussi ignoble. Tu ne saurais pas. Alors tu es parti. Tu es parti vers Londres trouver ces réponses, à défaut des autres.

D like Desease, S like... : Tu caches ta religion, craintif de la haine qui t'entoure. Tu étais presque sobre. Presque. Tu avais bu plus que de raison, ce soir-là. Tu bois toujours plus que de raison, de toute façon. Et puis tu as eu le vertige, sur cette scène un peu minable. Tu es tombé dans les pommes. On t'a fait une prise de sang. Depuis quand? Depuis quand portais-tu ce virus en toi? Tu n’en sais rien. Quelques années déjà. Qui as-tu infecté, qui? Tu te poses la question chaque jour. Certes, tu n’en mourras pas, avec la trithérapie, mais le diagnostic t’a glacé les os. Tu ne parles pas de toi. Tu as trop peur. Trop peur des préjugés. Des stigmates. D’être vu comme de la vermine. Tu te protèges, tu les protèges et tu envoies promener ceux qui rechignent. C’est tout. Et tu pries. Tu pries en silence pour qu’Il t’accorde son pardon.

Petit renard (פוקסעלע) Tu n'en voulais pas d'âme-soeur. Pas après Miriam. Pas après Toshiro. Pas après la maladie qui court dans tes veines, malgré la trithérapie. Mais il était bel et bien là, devant toi. Avec son caractère parfois terrible et son sourire d'ange. Ces visions de guerre d'une autre époque et ton uniforme carmin, au travers de la foret dense. Tu l'as suivi jusqu'en Amérique...  Et tu l'as repoussé autant que l'as pu, tout en recherchant sa présence. Trop, peut-être. Tu le regrette aujourd'hui. Te doutais-tu qu'il était comme toi? Non... Jusqu'au soir fatidique où ses os à lui ont craqué. Et il s'est transformé en renard... pour ne plus jamais redevenir ce qu'il était.

Tu as attendu. En vain. Jusqu'au jour où ses crocs ont déchiré une fois de trop ton petit corps de vermine. Jusqu'au jour où tu t'es rendu compte que l'animal sauvage qu'il était devenu dépérissait à vue d'oeil. Tu as roulé jusqu'au Minnesota. Vers ce refuge spécialisé où il pourrait être à l'abri, avec les siens. Mikayla t'envoie parfois des photos et te donne des nouvelles, par courriel. Tu ne les ouvres pas.

Tu as repris tes affaires. Tu les as mis dans une valise. Et tu es parti à Halifax, retrouver la trace de ton père biologique. Peut-être aurais-tu des réponses là-bas. Peut-être trouveras-tu un moyen de faire revenir Naveen.

VARIA :
Il se transforme en rat. Pelage brun foncé. C’est parfois plus fort que lui. Ses transformations ne dure qu'une douzaine d'heures et le laisse à chaque fois rompu et alité, les gencives en sang et les os douloureux. Il enterre la bête avec l’héro et l’alcool - connait bien les égouts d'Halifax et les rats avec qui il communique - a un odorat particulièrement aiguisé, il a une certaine réputation de prodige dans le milieu du vin et ça fait chuchoter. - Il est taciturne, parle peu de son passé. Ses collègues croit qu’il se prend pour un autre et ont inventé mille rumeurs à son sujet, toutes plus fausses que les autres. Il joue parfois au piano dans les cabarets miteux. Le piano est sa réelle passion. Très cultivé, il accumule tous les livres qui lui tombent sous la main. Il parle et écrit en yiddish, c'est sa langue maternelle. Il comprend un peu l'allemand. Son français est compréhensible mais médiocre. Son anglais est bien meilleur. Son accent de l’Est ressort dès la fatigue. Il pratique sa religion seul, en secret, bien que son emploi lui empêche de fêter les jours saints et le Shabbat. Ses employeurs ont abandonné l'idée de le forcer à se raser le visage. Il garde une barbe bien entretenue par tradition. Il déteste les chats et la plupart le lui rendent bien.

derrière l’écran

pseudo : Raton âge : Chuuuuuuuut, on ne demande pas à une vieille dame son âge. Pronoms : Il/lui Région : Montréal, Québec
où as-tu entendu parler du fo : On me l'a chuchoté, dans mes rêves les plus fous ton style de rp : À la première ou deuxième personne du singulier, 300 mots et plus. personnage inventé ou scénario : inventé disponibilité : On va se demander quand est-ce que je dors et la question est tout à fait légitime. un dernier mot : Du coeur sur vous! 

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